Manœuvre d’approche final du final à l’ouvrage (quai ou chargement) conçu pour permettre le stationnement des navires, leur amarrage et la manutention.
Entrepreneur de manutention maritime qui assure notamment le chargement, l’arrimage ou le déchargement des navires de commerce.
Ouvrage de formation formant une avancée en mer pour protéger un port contre les vagues.
Espace entre deux jetées, qui sert de porte d’entrée et de sortie pour les navires.
Négociant ou firme commerciale qui reçoit des marchandises en dépôt ou pour opérer le placement.
Caisse de dimension normalisée utilisée pour la manutention, le stockage ou le transport de matières ou de lots d’objets dont elle permet de simplifier l’emballage.
Ouvrier qui travaille sur les docks au chargement ou au déchargement des navires, et qui assure les manipulations dans les entrepôts.
Unité de mesure uniformisée permettant de répertorier les conteneurs selon leur taille et décrire les capacités des navires porte-conteneurs ou des terminaux.
Un appareil de levage et de manutention réservé aux lourdes charges.
Arrière-pays commercial d’un port. Cet arrière-pays peut correspondre à plusieurs pays sans littoral (ex : le Mali, la Guinée, et le Libéria pour le port Autonome de San Pedro).
Quai qui se forme sur une même ligne.
Aire de stockage de marchandises.
Port avec une grande capacité d’accueil ou un ou plusieurs navires s’échangent des marchandises d’un bord à un autre.
Navire qui transporte essentiellement des conteneurs.
Endroit où l’on amarre (accoste) le bateau, lieu où le bateau fait des opérations commerciales.
Quai à partir duquel l’on fait des embarquements ou des services divers (approvisionnement en eau ou en carburant).
Endroit d’entreposage de marchandise à l’intérieur du port.
Profondeur d’un bassin ou le niveau de l’eau au-delà duquel le bateau ne peut charger.
Professionnel mandaté par l’expéditeur ou le destinateur d’une marchandise, qui s’occupe des formalités et des liaisons entre les différents transporteurs.